Donner à voir sans modération !

6 février 2015

La photothèque autogérée

Approximation périodique de la saisie ; l'effet stagiaire? Service de podcast de France Culture, Radio France, sur l'interface iTune d'Apple.

La saisie de données dans un système d’informations visuelles suit la phase d’analyse des documents à traiter et leur référencement suivant un schéma documentaire structurant l’univers exploré. La charte normative est un référent documentaire pour les iconographes.
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Photothèque sans pilote

12 janvier 2015

Contribuer efficacement à l'enrichissement d'une photothèque pour satisfaire les utilisateurs. Illustration Daniel Hennemand

Mettre en place une photothèque centralisée dans l’entreprise nécessite une réflexion préalable pour en définir la vocation et le fonctionnement. Réalisé en interne ou avec l’aide d’un consultant, l’incontournable cahier des charges saura définir les sources susceptibles d’enrichir ce nouveau creuset, les applications concernées c’est-à-dire les futurs clients internes ou externes et en conséquence la typologie des objets hébergés et partagés.
Cette étape de définition des besoins devient la portion congrue des projets, les ressources et les besoins sont mal définis et les types d’objets mis à disposition sont souvent inadéquats. Lire le reste de cet article »

Publication : Basculer dans le numérique par Sylvain Maresca

5 novembre 2014
Basculer dans le numérique – Les mutations du métier de photographe
Ce livre explore les retombées sociales, culturelles et économiques de la mutation numérique de la photographie. Il le fait selon une approche ethnographique, à partir de cas singuliers, à travers les propos de représentants de la profession, par des extraits d’articles ou d’interviews parus dans la presse. Au-delà du milieu professionnel du photographe, cette enquête établit des points de comparaison avec les incidences du numérique dans d’autres professions créatives. Ces parallèles inspirent une conclusion sur ce que les transformations de ces professions pourraient bien annoncer dans le reste du monde du travail.
Auteur(s) :
Sylvain Maresca est professeur de sociologie à l’université de Nantes. Chercheur au Centre nantais de sociologie (CENS) et membre associé du Laboratoire d’histoire visuelle contemporaine (LHIVIC, EHESS), il s’intéresse plus particulièrement aux usages sociaux des images. Il est l’auteur du blog La vie sociale des images.
Domaines : Information-Communication,
Sociologie
Collection : Le Sens social
Format : 15,5 x 24 cm
Nombre de pages : 190 p.
Presses universitaires de Rennes
2014
ISBN : 978-2-7535-3440-7
Prix : 16,00 €
Contact :
Presses Universitaires de Rennes
Campus de La Harpe – 2, rue du doyen Denis-Leroy – 35044 Rennes Cedex
Téléphone : 02 99 14 14 01 – www.pur-editions.fr

Profession Photographe a besoin de vous!

23 octobre 2014
Profession Photographe est un magazine photo créé par Pascal Quittemelle avec l’ambition d’occuper la place laissée vacante par le regretté Photographe disparu en 2009.
Vous vous en doutez, se lancer dans un tel projet à l’ère de l’information numérique, ce n’est pas chercher la facilité.
Pourtant, le magazine poursuit sa route depuis deux ans. Seulement voilà, l’heure est arrivée où des aides extérieurs s’avèrent indispensables.
Pour pouvoir rebondir, Pascal Quittemelle a lancé une opération de financement participatif via le site Ulule. Je ne peux que vous inciter à contribuer à cette opération, même modestement. Le chrono. tourne, ne laissez pas passer la date butoir. Il s’agit d’une proposition de contribution; si le montant visé n’est pas atteint, vous ne serez pas débité.

Compte à rebours, état au 27 octobre 2014

Longue vie aux survivants de l’image imprimée, longue vie à Profession photographe.
Daniel Hennemand

Pierre Michelet, inventeur d’images

11 septembre 2014

Hommage à Pierre Michelet, Venise 2006

Pierre Michelet nous a quitté à la fin du mois d’août.
Pierre était photographe et réalisateur de spectacles audiovisuels ; une curiosité sans bornes pour l’image et l’évolution des techniques.
Réalisateur de diaporamas, ce terme n’évoque plus grand-chose si non la lanterne magique, cependant les années 60 et 70 ont vu fleurir en France sur des modèles anglo-saxons – Expo. Universelle à Montréal Kodak 1967 – et de l’Europe de l’Est – Josef Svoboda -, des spectacles de projections de diapositives en grandes dimensions, le Cinérama en images fixes si l’on veut, images géantes et son stéréo. Des noms célèbres en leur temps, l’initiateur Albert Plecy avec le Bestiaire 2000 aux Tuileries, 1969, les Cathédrales d’images aux Baux-de-Provence – le spectacle perdure mais son nom n’est plus cité -, H. W. Müller, Jean-Marie Grenier avec ses tournées en salles et chez Kodak, Jean Lamouret parcourant pour la marque tous les étés les plages de France avec ses spectacles sur trois écrans, Serge Fitz, théoricien de l’image.

ARTE-TV : acheter des vidéos sans les clefs!

26 août 2014
Lettre ouverte à ARTE Boutique
Bonjour et merci pour votre réponse à propos de la politique du commerce en ligne de la chaîne Arte.
DIFFUSION
Arte – la plus belle des chaînes – permet aux téléspectateurs de nouveaux visonnages durant sept jours.
Lors de la diffusion d’une émission, le téléspectateur peut à sa guise enregistrer en temps réel le programme.
Est appliqué alors le plein exercice du droit à la copie privée, droit qui en son temps a demandé beaucoup de négociations.
PROTECTION
Aujourd’hui, vous organisez le commerce de copies en cryptant et en cachant – ce qui est cocasse – les fichiers au tréfonds de l’ordinateur de l’acheteur.
Par là, non seulement vous faite intrusion dans l’organisation de ses propres données et vous interdisez la sauvegarde d’un existant que seul le détenteur doit pouvoir assurer. Cette politique outrepasse les limites du respect des personnes. De surcroit, au gré de l’évolution des logiciels, ces fichiers seront certainement illisibles dans quelques années.
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Métadonnées et Open data

5 août 2014

Visualisation des métadonnées embarquées dans un fichier image JPG - Photo Daniel Hennemand

Retour à l’appel à contributions pour une étude sur les métadonnées dans les médias et les industries culturelles*

31/07/2014

Questions

I. Quelle utilisation avez-vous des métadonnées ? (dans quel objectif ? quels registres ? quelle organisation interne ? quelles liaisons externes ?)

II. Quels enjeux les métadonnées représentent-elles pour votre structure ? Quelles seraient selon vous les principales voies de progrès en la matière ?

III. Que pensez-vous de l’éventualité de la mise en place de registres ouverts de métadonnées dans votre/vos secteurs ? (si un registre ouvert de métadonnées devait être créé, devrait-il être selon vous commun à tous les secteurs ou bien adapté à chaque secteur ? quelles sont les spécificités de votre secteur à cet égard ?)

I. APPLICATIONS
L’usage des métadonnées est nécessaire dès la mise en place et le paramétrage des outils de gestion d’images :
Importation : lien avec l’existant IPTC (gisements de fichiers riches, exportation d’anciens systèmes de gestion d’images).
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[Lecture de l'image] Blanc couleurs

26 juillet 2014

Rouleaux de papiers colorés. Vu dans les locaux du studio de prise de vue Photoluxe, juillet 2014 - Photo Daniel Hennemand

Quelques rouleaux de papier posés contre le mur d’un studio momentanément déserté. Un doute seulement sur l’inconscience du geste; encore le hasard? Le maître des lieux observe sans provoquer. Changement de décors. Lorsque se révèle une telle plastique, il la préserve autant que la vie du studio le permet – combinaison hasardeuse des éléments -.
L’espace est souvent d’un blanc immaculé, boîte à accueillir le beau, couleurs, matières, textures.
Nos musées devraient retrouver cette idée de l’écrin pour l’œuvre – simplicité -. Arrêter de gamberger sur l’intelligence muséale, architectures sublimes et arrogantes où l’œuvre est de trop – doute-t-on de l’œuvre? -.
Orsay avec sa lourde double peau inutile. Les volumes hypertrophiés fleurissent à travers le monde. Retour à la boîte, juste un vide où fonce la lumière pour venir lécher les œuvres.
Souvenir de l’ARC, dans l’ancien Palais des Musées d’art moderne, enfilade d’espaces vides et blancs – le silence et une gestion de génie. Prêt à accueillir et révéler par la lumière.

Vu dans les locaux du studio de prise de vue Photoluxe, mars 2014 - Photo Daniel Hennemand

Objet et lumière au Studio Photoluxe, août 2012 - Photo Daniel Hennemand

Daniel Hennemand, v1.0

Google n’est pas une agence photo!

16 mars 2014

Extrait de la page du Monde Sport citée dans l'article - www.lemonde.fr - Photo Ryan Bayona

Le Monde Sport a illustré un article sur Romain Grosjean le 13 mars 2014 par un portrait du champion(1). Non seulement les images électroniques ne sont jamais enrichies de métadonnées sur ce support; il suffit de les faire glisser sur son bureau pour les rendre anonymes, mais en plus, il faut que les petites mains de la rédaction ignorent le statut de Google. Ce n’est pas une agence photographique, encore moins un photographe ou un éditeur, Google est un moteur de recherche référençant pour notre plus grand bonheur des milliards d’objets numériques – pas seulement, nous savons -.
Cette image a retenu l’attention du journaliste? Il suffisait de cliquer sur le visuel affiché sur la page Google pour identifier en premier lieu la page de sa publication(2), puis de cliquer sur le portrait pour découvrir l’identité de l’auteur(3) – bon, cela fait deux clics, c’est énorme -.
Le Monde est peut-être encore le premier quotidien français, mais aurait-il supprimé par hasard documentalistes et iconographes? Dommage pour ces professions et pour la reconnaissance de l’auteur qui a publié cette image sur Flickr avec des droits très ouverts(4).
  • 1- www.lemonde.fr/sport/article/2014/03/13/romain-grosjean-je-veux-devenir-champion-du-monde-de-f1_4382783_3242.html
  • 2- en.wikipedia.org/wiki/Romain_Grosjean
  • 3- www.flickr.com/photos/ryanbayona/6963359544/in/set-72157629525497034
  • 4- creative commons : “…Vous êtes autorisé à : Partager — copier, distribuer et communiquer le matériel par tous moyens et sous tous formats Adapter – remixer, transformer et créer à partir du matériel pour toute utilisation, y compris commerciale… Vous devez créditer l’Oeuvre, intégrer un lien vers la licence et indiquer si des modifications ont été effectuées à l’Oeuvre…(extrait du texte creative commons : http://creativecommons.org/licenses/by/2.0/deed.fr).

Extrait de la page Google indiquant la source. Image recadrée, Ryan Bayona

Daniel Hennemand, v1.0

Conseil en gestion d’images

Photothèque en ligne : une histoire de fichiers

24 février 2014

Fontaine Walace en cours de réfection recouverte de peinture au minium, Paris - Photo Daniel Hennemand

Petit rappel de cohérence nécessaire des images numériques mises à la disposition des usagers des photothèques ou des médiathèques d’entreprises.
On peut distinguer trois grandes catégories de fichiers images, photographies ou illustrations en général :
- Les fichiers natifs de prise de vue ou des arts graphiques
- Les fichiers destinés à l’édition/impression offset
- Les fichiers destinés au web et à la bureautique
Un des avantages de la constitution d’un fonds de documents numériques est leur (ré)utilisation par le plus grand nombre. Les utilisateurs peuvent trouver des illustrations en recherchant et en récupérant des objets avec toutes les garanties requises en termes documentaire (bonne version d’un produit), technique (fichier techniquement exploitable), juridique (garantie du bon droit à utiliser ce fichier pour un type d’exploitation) et esthétique (vue sous l’angle le plus valorisant).
Dans le contexte d’une médiathèque, il est de coutume de ne pas mettre à disposition des fichiers natifs car impropres à l’utilisation par le plus grand nombre; la plupart des utilisateurs ne possèdent  pas les logiciels adéquats. Pour autant, certains services d’édition ou de communication requièrent des fichiers haut de gamme ou techniquement sophistiqués (comportant des calques par exemple). Il faut donc définir les profils utilisateurs et les applications possibles de ces fichiers partagés; quels fichiers pour quels besoins? L’adage “Qui peut le plus peut le moins” n’est pas toujours valable dans ce contexte; il est certain qu’un fichier lourd au format .tif en quatre couleurs risque de désorienter un collaborateur en quête de visuels pour une présentation PowerPoint.
1- Les fichiers natifs de prise de vue ou des arts graphiques
Prise de vue :
Un boîtier standard professionnel génère des images définies par trois couleurs primaires : le rouge, le vert et le bleu.
Aujourd’hui, l’équivalent d’un appareil 24×36 délivre nativement des fichiers d’environ 35 Mo. en plusieurs standards possibles :
- Raw, c’est-à-dire le format d’enregistrement du capteur du boîtier; chaque constructeur possède un standard propriétaire. Ils délivrent des fichiers que l’on peut appeler, par analogie avec l’argentique, des “négatifs”, propres à être développés; interprétables en post-production où ses caractéristiques sont modifiées : température de couleur, luminosité, contraste, masquage, révélation des lumières dans les zones sombres, etc. Les fichiers au standard Raw représentent donc des états numériques avant traitement et ne sont pas à partager dans une médiathèque. Ils sont la propriété du créateur de l’image qui saura éventuellement fournir à la demande de nouvelles interprétations.
- Tif : format généré jusqu’alors par les boîtiers, sans compression de données donc sans dégradation, utilisable par les utilisateurs de logiciels de retouche tel Adobe Photoshop. Ils peuvent intégrer des calques utiles à la retouche et au détourage.
- Jpg : format universel compressé; le propre de ce standard mis au point pour véhiculer et diffuser sur les réseaux des images à des poids moindre. La compression équivaut à une dégradation et celle-ci doit être minimale. Ce taux de compression doit être connu en phase d’exploitation (forte/faible). Une forte compression provoque la production de fichiers de faible poids mais de qualité médiocre. Ce défaut apparaît rarement à l’écran où l’image est toujours belle, cela se révèle en revanche à l’impression.
Studio arts graphiques : hors modélisation 3D , en création et retouche, les designers utilisent principalement deux logiciels : Adobe Photoshop et Adobe Illustrator.
  • Photoshop interprète et génère des images dites bitmap (définies point par point) pour la retouche des photographies ou du dessin à main levée. La qualité d’un visuel dépend des dimensions et de la résolution du fichier. Lors de l’évolution du logiciel, Adobe a intégré des couches vectorielles de travail. L’extension d’Adobe Photoshop est “.psd”.
  • Illustrator permet la création de figures en tracés, l’image n’est pas constituée d’une suite de points, mais créée à partir de courbes mathématiques; formes sophistiquées au-delà du trait, du carré ou du rond, jusqu’au dessin. La définition de ces fichiers ne dépend pas du taux d’agrandissement. Illustrator permet le traçage autour d’une forme, intéressant pour “détourer” un objet photographié que l’on souhaite extraire de son décor originel (ôter le fond) pour pouvoir le replacer dans un nouveau décors. L’extension d’Adobe Illustrator est “.ai”, on rend les fichiers universels et réutilisables par d’autres logiciels en le convertissant en “.eps” “Encapsuled Postcript”. Ce format est tout à fait indiqué pour la fabrication des plans et schémas techniques.
2- Les fichiers destinés à l’édition/impression offset
En fait, tous les formats sont acceptables puisque les designers possèdent à la fois les outils cités plus haut et le savoir-faire. Les formats suivants peuvent donc être communiqués à un studio : .ai; .eps; .tif; psd.
Rappelons qu’un fichier image est défini par trois caractéristiques dont deux suffisent à déduire la troisième : le poids en octets, les dimensions en pixels et la résolution en point par pouce (dpi), c’est à dire le nombre de points définissant l’image sur une distance fixée par la norme (dot per inch / 2,54 cm). Plus la résolution est importante (150, 300, 400), plus la définition sera grande. La norme en offset exige encore aujourd’hui une résolution de 300 dpi. Pour une impression dite à jet d’encre une résolution de 200 suffit et l’impression de bâches grands formats peut se satisfaire d’une résolution de 120 dpi.
Rappelons cependant qu’à ce niveau intervient une phase importante de conversion des fichiers pour les rendre imprimables par les techniques offset; il s’agit de la conversion de trois couleurs (fichiers issus de la prise de vue) en quatre couleurs (jaune, magenta, cyan, noir; CMJN ou en anglais CMYK)), “couches” primaires requises pour l’impression offset en quatre passes.
La conversion est délicate, autrefois assurée par des spécialistes (photograveurs), mais assumée aujourd’hui par tous les utilisateurs de Photoshop; évolution délicate mais inévitable.
La palette 4 couleurs étant restreinte par rapport à celle de l’univers 3 couleurs, il y a dégradation lors de la conversion, là où beaucoup de nuances d’une même couleurs sont requises; on parlait d’interprétation du chromiste; convertir un bleu de prise de vue en un ton imprimable en offset.
L’opération inverse est délicate. Un bleu photographique fait de trois couleurs primaires est converti en quatre couleurs imprimables, mais le retour aux trois couleurs, indispensables à l’affichage écran Web, devient scabreux sans référentiel colorimétrique (valeur de comparaison), dix bleus RVB possibles à partir d’un seul bleu CMJN. La conversion en trois couleurs n’attribue pas nécessairement le ton dans la zone d’origine. Diffuser des fichiers quatre couleurs en vue de conversion par des utilisateurs non aguerris rend possible des dérives colorimétriques, ce qui peut être gênant pour le rendu d’un produit ou un logo. De plus les latitudes en redimensionnement sont limitées (+70%/-30%).
La solution est de constituer dans la mesure du possible un fonds cohérent de fichiers trois couleurs qui pourront être convertis au besoin en quatre couleurs et si possible jamais dans le sens inverse par des néophytes.
3- Les fichiers destinés au web et à la bureautique
Les fichiers destinés à l’affichage écran pour le Web ou aux applications telles que PowerPoint ou Word requièrent des poids de fichiers moindre.
Les standards imposés pour l’écran sont le .jpg pour la photographie avec une palette de plusieurs millions de couleurs pour les afficher, et le .gif pour les schémas et autres aplats avec une palette de 256 nuances maximum.
Pondération
Le rôle d’une médiathèque est de centraliser des éléments certifiés (documentaire, technique, juridique et esthétique) destinés à des usages multiples. Nous avons vu que ces utilisations requéraient des fichiers aux caractéristiques différentes. Il faut donc à la fois recenser ces usages et décider des caractéristiques communes de fichiers les plus universels possibles. Un des avantages des solutions de médiathèques est de générer à la demande lors du téléchargement des fichiers adéquats. L’utilisateur déclare sont intention en termes d’applications; le système en déduit quelles caractéristiques le fichier exporté doit posséder (impression, affichage écran, etc.).
Pour l’impression offset => le fichier le plus performant disponible avec une résolution de 300 dpi; pour une application web, un fichier de quelques méga octets suffit à 72 dpi.
Les appellations anciennes sont “haute définition” pour le premier cas et “basse définition” pour le second, mais pour bien les utiliser, il ne faut pas se limiter au poids, car il ne détermine ni la résolution, ni l’univers colorimétrique (3C ou 4C).
- Fichiers photographiques universelles pour des applications de communication :
Standard : .jpg,
Taux de compression : minimal / “qualité maximale” dans Photoshop
Résolution : 300 dpi
Poids : 24 Mo. pour couvrir un A4. Les 35 Mo. natifs des capteurs actuels permet un recadrage
Univers colorimétrique : 3 couleurs RVB
- Fichiers détourés
Standard : .gif ou .tif
Résolution : 300 dpi
Poids : variable selon application
Univers colorimétrique : suivant le mode de création
Daniel Hennemand
v1.2

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